Icebreaker challenge en Slovénie
Que vous fassiez de la randonnée, du vélo ou du kayak, chacune de vos sorties se transformera en aventure grâce à l’équipement adéquat. Demandez à nos testeurs qui ont eu l’occasion d’essayer les t-shirts en laine de mérinos d’icebreaker lors de l’Explore Camp en Slovénie. Et voyez s’ils ont réussi le test !
Jour 1 : randonnée jusqu’à Nanos
Nous grimpons vers le sommet du plateau karstique slovène (ou Karst) lorsque le vent se lève à nouveau et le brouillard se met à recouvrir les flancs montagneux. Un instant plus tôt, nous transpirions abondamment dans les passages les plus abrupts du Nanos, la montagne que nous gravissons, mais la température se met à chuter rapidement de cinq degrés. Néanmoins, les randonneurs Ann et Jonathan n’ont pas froid, grâce aux sous-vêtements en laine de mérinos d’icebreaker qu’ils portent sous leurs vêtements de randonnée. Ces vêtements vous gardent au sec en cas d’humidité, au frais quand il fait chaud et au chaud quand les températures chutent.
Icebreaker peut se targuer du fait que les propriétés antibactériennes de ses vêtements permettent d’absorber les odeurs désagréables. Après avoir sué à grosses gouttes pendant une journée, vous pouvez faire sécher votre t-shirt d’icebreaker et le remettre simplement le lendemain matin sans risquer de gêner vos compagnons de voyage. Au contraire, votre t-shirt sentira le frais. La marque néo-zélandaise est tellement convaincue de la réussite de l’opération qu’elle l’a associée à un défi dénommé icebreaker Challenge qui consiste, pendant sept jours, à faire du sport et à transpirer dans le même t-shirt sans avoir recours au lavage.
Vous pouvez reporter sans problème un t-shirt de la marque icebreaker après une journée de transpiration intense sans risquer de gêner vos compagnons de voyage.
Ann et Jonathan tentent une mini-version de ce défi en Slovénie. Mais bien que l’Explore Camp ne dure que quatre jours, le défi n’en est pas moins ardu, en raison de la diversité des activités physiques. Tous les testeurs reçoivent deux t-shirts, un t-shirt Tech Lite (à manches courtes) icebreaker et un Oasis Scoop ou Oasis Half Zip (à manches longues) icebreaker qu’ils peuvent porter à leur guise pendant quatre jours. Le premier jour, leur tenue passe le test avec brio. Nous ne détectons pas la moindre trace de mauvaise odeur lorsque nous regagnons le camp de base.
Qui passe le test ?
Ann Coulier
• 54 ans
• Habite à Anvers (Linkeroever)
• Responsable du rayon Trekking/Randonnée à l’A.S.Adventure de Wijnegem
• Instagram : @anncoulier
Jonathan Nachtergaele
• 28 ans
• Habite à Gand
• Assistant Store Manager à l’A.S.Adventure de Knokke
• Instagram : @jonathannachtergaele
Jour 2 : randonnée jusqu’à la fenêtre naturelle d’Otlica
Le deuxième jour, nous repartons à la conquête du monde, cette fois-ci en direction de la fenêtre naturelle d’Otlica qui offre indéniablement le plus beau cadre pour des clichés de la Vallée de la Vipava. Jonathan apprécie l’icebreaker. « Confortable, souple et doux », dit-il. En principe, comme les couches de base sont assez fragiles en combinaison avec un sac à dos, il les utilise essentiellement après la randonnée. « Pour tout ce qui ne concerne pas directement la randonnée », explique-t-il. « À mon arrivée, le soir, j’enlève mon t-shirt synthétique sale, je le rince puis je le mets à sécher. Je porte mon icebreaker pour cuisiner, monter ma tente ou aller en ville. Cela fait deux ans que j’utilise ce type de t-shirt sans aucun problème. » Lors du test, Jonathan déboucle sa ceinture. Le matériau de son t-shirt est particulièrement adapté à la randonnée. Celle-ci est d’ailleurs très physique, avec une ascension ardue. Elle fait transpirer abondamment. Mais après une bonne nuit d’aération... les vêtements sentent le frais.
Jour 3 : randonnée en V.T.T. électrique sur la route panoramique de Solčava
À partir de la Vallée de Logar, les cinq premiers kilomètres s’effectuent sur une route asphaltée en descente. Les températures sont inversement proportionnelles à la vitesse et frôlent le zéro degré. Les vêtements icebreaker font à nouveau leurs preuves. La laine de mérinos est respirante et maintient la température corporelle à un niveau constant, ce qui en fait un excellent choix, par temps froid comme par temps chaud. Lorsqu’il fait froid, comme lors de cette descente fulgurante, la laine emprisonne l’air dans ses fibres, isolant ainsi votre corps. Par temps chaud, en revanche, la sueur emmagasinée dans la laine s’évapore, ce qui a pour effet de vous rafraîchir.
Ann est également une fervente adepte de la marque icebreaker : « Je possède tout l’assortiment à la maison, des chaussettes aux sweat-shirts en passant par les bonnets. Le confort qu’ils me procurent est inégalé. » Contrairement à la laine ordinaire qui provoque souvent des démangeaisons et donne une sensation d’asphyxie à son utilisateur, le t-shirt en laine de mérinos agit presque comme une seconde peau. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique l’enthousiasme d’Ann. Si elle porte volontiers ces t-shirts, c’est aussi pour leur côté écologique : « Moins on doit laver, mieux c’est pour l’environnement », dit-elle. La diminution de la consommation d’eau contribue à réduire la "soupe de plastique" dans les océans : « La laine de mérinos est autonettoyante - ce n’est pas qu’il ne faille jamais laver les vêtements, mais ils nécessitent très peu d’entretien. »
Jonathan acquiesce : « Je pense que ces t-shirts conviennent parfaitement aussi pour un séjour au ski. Vous pouvez les enfiler pendant une journée, les faire sécher et puis retourner sur les pistes le lendemain. Procéder de la sorte trois ou quatre jours d’affilée ne pose vraiment pas de problème, sauf peut-être si vous avez une forte odeur corporelle. Dans ce cas, vous pouvez alterner deux t-shirts. »
Les avantages et inconvénients d’icebreaker selon Ann et Jonathan
+ coupe confortable
+ résistance aux odeurs
+ propriétés respirantes
+ chaleur en hiver, fraîcheur en été
+ écologique
+ ne pique pas
+ propriétés antibactériennes
+ garde au chaud même par temps humide
- le prix (bien qu’il soit compensé par la durabilité et la longévité du vêtement)
- relativement fragile
L’icebreaker Tech Lite II et l’icebreaker Underwear 200 Oasis
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icebreaker Tech Lite II |
icebreaker Underwear 200 Oasis |
Manches : |
courtes |
longues |
Tissage : |
150 grammes |
200 grammes |
Composition : |
100 % laine de mérinos |
100 % laine de mérinos |
Résistant aux odeurs : |
oui |
oui |
Régulateur d’humidité : |
oui |
oui |
Convient comme : |
couche de base |
couche de base |
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couche intermédiaire et externe par temps hivernal |
couche supérieure par temps estival |
Prix : |
à partir de 69,95 € |
à partir de 89,95 € |
Jour 4 : randonnée en kayak sur la Savinja
Le dernier jour, nos testeurs s’aventurent sur la Savinja pour une excursion en rafting et en kayak. Une rivière au débit puissant, comme le montrent deux autres participants de l’Explore Camp qui goûtent à l’eau froide aussitôt après avoir franchi les premiers rapides. Jonathan chavire lui aussi une fois, mais cela ne le condamne nullement aux frissons ni aux engelures, grâce notamment au baselayer d’Icebreaker qu’il porte sous sa combinaison étanche. De la vapeur se dégage ensuite de nos corps. Les vêtements ont bien rempli leur fonction et le dernier verre de schnaps à la myrtille nous réchauffe le corps et l’âme en un rien de temps.
Mais assez parlé de sport, place aux conclusions finales ! Et surtout à la réponse à la question à un million de dollars : les vêtements icebreaker passent-ils le test olfactif ? Ann : « Au retour de Slovénie, j’ai un peu secoué et fait sécher les deux t-shirts. J’ai beaucoup porté le t-shirt à manches courtes en particulier, je m’attendais donc à une odeur de transpiration, surtout après d’intenses randonnées. Mais ce ne fut pas si terrible que ça. Les restes de déodorant prédominaient, l’odeur de transpiration était indétectable. » Jonathan soumet, quant à lui, son t-shirt à l’odorat affûté de ses collègues le lendemain de son retour de vacances. « Ils pensaient qu’il sortait tout droit du placard. Il sentait bon le neuf. »
« J’ai mis mon t-shirt sous le nez de mes collègues. Ils ont cru qu’il sortait tout droit du placard. »
(Jonathan)
Cela prouve une fois de plus que la laine de mérinos d’icebreaker constitue un excellent choix pour les aventuriers et les amateurs d’activités de plein air exigeants sur le plan vestimentaire. Les couches de base ont parfaitement résisté aux expéditions dont nous ignorions à l’avance les conditions météorologiques, qu’il fasse brumeux ou grand soleil. Icebreaker vaut également son pesant d’or pour les expéditions en montagne, les vacances ou les escapades d’un week-end. Bref, chaque fois que l’on préfère voyager léger.
Qu’est-ce que l’Explore Camp en Slovénie ?
Joindre le geste à la parole, voilà ce qui nous paraît essentiel chez A.S.Adventure. Si nous encourageons nos clients à sortir et à explorer la nature, c’est parce que nous prenons nous-mêmes énormément de plaisir à le faire. D’où l’idée de l’Explore Camp : nous sommes partis quelques jours avec une bande d’aventuriers – des ambassadeurs, des collaborateurs, un photographe et un journaliste – à la découverte de la magnifique Slovénie. L’objectif était d’explorer la région et de tester des produits. Au programme : randonnée, V.T.T. électrique, trail et kayak.
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