Un sac à dos de qualité est indispensable pour toutes les randonnées. Les aventuriers Niel et Ellen ont testé les sacs à dos Sirrus et Stratos d’Osprey pendant l’Explore Camp.
Qui a fait le test ?
Un confort à la hauteur des sommets à atteindre
Les impressionnants sommets des Dolomites s’illuminent dans le soleil du matin. Composées de falaises abruptes et escarpées s’élevant au-dessus du paysage montagneux enneigé, les Dolomites offrent un cadre admirable pour de magnifiques treks. Les blogueurs de voyage Niel et Ellen bouclent leurs raquettes sous leurs chaussures de randonnée, prêts à affronter le manteau de neige blanche.
Sur ce type de terrain, un sac à dos approprié est indispensable, de préférence un modèle qui combine un contenant important et un grand confort. C’est pourquoi Ellen a reçu un Osprey Sirrus bleu myrtille et Niel un Osprey Stratos gris foncé, tous deux d’une capacité de 36 l. Ellen aime la teinte bleue : « J’aime les couleurs qui claquent, parce qu’elles donnent de belles photos. » Niel est fan du design épuré et de l’aspect minimaliste de son sac à dos Osprey : « Pas trop de cinéma, juste du bon matériel », résume-t-il.
« En chemin, j’oublie presque que je le porte. »
Niel, blogueur de voyage
Pour leurs treks d’une journée, les participants à l’Explore Camp ont besoin d’un sac à dos à la journée suffisamment grand. C’est certainement le cas d’Ellen, qui transporte une série d’objectifs pour son appareil photo, en plus de couches de vêtements supplémentaires pour déjouer le froid. « En tant que photographe, je transporte du matériel lourd dans mon sac à dos. Lors de longs trajets, ce n’est souvent pas très agréable et m’occasionne parfois des douleurs aux épaules et au dos. » Le Sirrus d’Osprey s’est avéré être une bonne alternative : « Le sac à dos a un poids plume et ses bretelles et sangles lombaires rembourrées le rendent très confortable. Il s’adapte bien au corps et, grâce à la sangle lombaire et de poitrine, le poids est bien réparti et mon dos est épargné ». Niel fait également l’éloge du confort de son sac à dos : « Une fois parti, on oublie presque qu’on le porte. »
Pas un instant ils n’ont eu mal au dos ou aux épaules. Les kilos reposent sur leurs hanches, comme il se doit. « Jamais je n’ai senti mon sac à dos commencer à peser. Ce qui n’est pas le cas avec d’autres modèles, même en transportant le même contenu que d’habitude », explique Ellen. Pendant l’Explore Camp, elle porte 10 kg par jour, Niel environ 8 kg. Ils sont donc loin de la capacité de charge maximale : le Sirrus et le Stratos sont prévus pour 14 kg.
Qu’est-ce que l’Explore Camp ?
Tout au long de l’année, nous encourageons nos clients à prendre un maximum de bols d’air et à explorer les plus beaux endroits, près de chez eux ou dans de lointaines contrées. Lors de l’Explore Camp, nous joignons le geste à la parole. Avec un groupe d’ambASsadeurs, de collègues, un photographe, un journaliste et un chef de projet, nous nous sommes rendus dans le Tyrol du Sud, en Italie.
Au programme : randonnée, raquettes et balade en traîneau avec des huskies, dans les plus beaux paysages des Dolomites. L’objectif était d’apprendre à connaître la région et de tester divers produits. Ciao!
La facilité de rangement des sacs à dos Stratos et Sirrus d’Osprey
Au sommet de la montagne, un vent glacial souffle, gelant à pierre fendre. Ellen prend une paire de gants supplémentaire dans son Sirrus. Au lieu d’ouvrir le sac à dos par le haut, Ellen en dézippe la partie latérale. « Il est pratique de pouvoir y accéder facilement, sans avoir à fouiller dans le grand compartiment par le haut. Il suffit d’ouvrir la fermeture éclair latérale pour voir immédiatement ce qui se trouve à tel ou tel endroit. »
« Grâce à la fermeture éclair latérale, il n’est pas nécessaire d’ouvrir complètement le sac à dos pour prendre quelque chose. »
Ellen, blogueuse de voyage
Le Stratos et le Sirrus disposent de deux grands compartiments de rangement. Le compartiment supérieur est également généreux, avec une poche zippée en filet à l’intérieur. « On sait immédiatement ce qu’elle contient. Ainsi, je ne perds jamais de temps à chercher mon powerbank ou la batterie supplémentaire de mon appareil photo. »
La poche zippée à l’avant du sac à dos est spacieuse et facilement accessible lorsqu’on marche. « J’y range tout ce dont j’ai besoin rapidement en cours de route, comme ma doudoune et mes gants », explique Niel. Il range son bonnet et son BUFF dans une poche de la ceinture lombaire, et dans la deuxième poche de cette ceinture, ses lunettes de soleil et sa crème solaire (« tout ce dont j’ai besoin pour ma tête »).
Sangles, boucles et accessoires intelligents
Bien sûr, les nombreux compartiments sont pratiques pour organiser ses affaires. Mais le Sirrus et le Stratos offrent encore plus d’options de rangement. « Je n’avais pas tout de suite compris à quoi servaient toutes les boucles et les sangles », avoue Ellen. « Il y a tellement de gadgets et de découvertes dans ce sac à dos qu’un manuel aurait été utile. J’ai regardé une vidéo pour savoir tout ce qu’il était possible de faire. »
« Par exemple, il n’est pas nécessaire d’enlever le sac à dos pour y attacher rapidement vos bâtons de randonnée. Grâce au système Stow-on-the- Go™ vous les rangez facilement », explique Niel. « Les boucles et les sangles du Sirrus et du Stratos ont été très bien pensées. Vous pouvez fixer un sac de couchage ou un matelas sur votre sac à dos, mais aussi des chaussures, une veste ou même des raquettes. »
« Il y a tellement de gadgets et de découvertes dans ce sac à dos. »
Ellen, blogueuse de voyage
Ellen s’enthousiasme pour le sifflet intégré à la boucle de la sangle de poitrine. « Un plus pour la sécurité », estime-t-elle. « De cette façon, je peux facilement avertir mes compagnons de randonnée si je prends du retard parce que je suis à nouveau en train de faire des photos », ajoute-t-elle en riant.
Ils ont soif à force de se débattre dans la neige. Niel boit une gorgée dans sa gourde, puis la range dans la poche latérale en filet. « Cette poche est plus difficile à atteindre quand on porte le sac sur le dos », constate-t-il. « La prochaine fois, je prendrai une poche à eau, c’est quand même plus pratique. Il suffit de placer le système d’hydratation dans l’espace prévu à cet effet et d’accrocher le petit tuyau à travers l’ouverture spéciale située dans la partie supérieure. Je peux alors boire sans devoir enlever mon sac à dos ou faire des acrobaties. »
Niel et Ellen ont de la chance avec la météo : un soleil radieux les accompagne lors de leurs treks d’une journée. Ils n’ont donc pas utilisé la housse de pluie. « C’est très pratique que cette housse de pluie soit fournie par défaut, car le sac à dos peut ainsi résister à n’importe quelle chute de neige ou averse sans être mouillé. »
À propos d’Osprey
Du sac à dos à la journée au sac à dos de trekking, en passant par le sac à dos de randonnée ou le sac de voyage : Osprey has got your pack, que vous partiez pour une petite escapade ou une grande expédition. Depuis 50 ans, la marque perfectionne ses sacs à dos. Les sacs à dos de la marque californienne conviennent aussi bien aux véritables activités de plein air qu’à vos activités quotidiennes. Leur point commun ? Ils sont très bien ventilés et robustes, sans être inutilement lourds.
Transpirer moins avec les sacs à dos Stratos et Sirrus d’Osprey
Dans les Dolomites, le mercure descend sous zéro degré. Mais une randonnée difficile vers un sommet, cela donne chaud. « Normalement, quand je fais un tel effort, la sueur me coule dans le dos, mais pas ici. Je transpire facilement donc je trouve que c’est un grand avantage de ne pas avoir le dos trempé quand je randonne. » Grâce au panneau dorsal en maille, votre dos est correctement ventilé pendant les phases de transpiration. Le panneau dorsal respirant est également réglable. Vous pouvez l’ajuster exactement à la bonne hauteur, pour encore plus de confort.
Stratos 36 L vs Sirrus 36 L en un coup d’œil
Avantages et inconvénients selon Ellen et Niel
+ Volume idéal pour une randonnée d’une journée ou un trek de plusieurs jours
+ Ceinture lombaire et bretelles rembourrées
+ Nombreuses possibilités de rangement
+ Compartiments pratiques
+ Beau design
+ Excellent confort
+ Légèreté
+ Moins de transpiration grâce au panneau dorsal respirant
+ Compatible avec une poche à eau
+ Format bagage à main
- Le compartiment latéral est difficilement accessible lorsque le sac est sur le dos
Un sac à dos comme bagage à main
Niel a découvert que les sacs à dos n’étaient pas seulement adaptés aux aventures en montagne. « En fait, le Sirrus et le Stratos avaient déjà marqué de bons points avant même le début de notre première journée de randonnée. Car ils peuvent voyager en avion en tant que bagage à main. » Le Stratos mesure 71 cm de haut, 37 cm de large et 27 cm de profondeur. « Si vous laissez le compartiment supérieur vide, le sac à dos a la bonne taille pour être autorisé comme bagage à main par la plupart des compagnies aériennes. » Niel a donc emporté son sac à dos comme bagage à main dans les Dolomites sans aucun problème.
« Le sac à dos peut être emporté dans l’avion comme bagage à main, à condition de ne pas le remplir complètement. »
Niel, blogueur de voyage
Le saviez-vous :
Pour réduire la quantité de déchets, Osprey vous encourage à faire réparer votre matériel en cas de défaut ou d’endommagement, plutôt que de le remplacer. C’est pourquoi votre sac à dos Osprey est garanti à vie. Ainsi, vous en profiterez pendant des années !
Conclusion : ces sacs à dos sont parfaits pour les randonnées d’une journée et les treks de plusieurs jours
Niel et Ellen ont pu tester le confort de leur sac à dos lors de plusieurs excursions d’une journée dans les Dolomites. Apparemment, le Sirrus et le Stratos leur ont plu. Le poids repose confortablement sur les hanches, et les bretelles ainsi que le panneau dorsal sont entièrement ajustables en fonction de la morphologie. On en oublie presque qu’on porte un sac à dos.
« Ce sac à dos est idéal pour les treks de plusieurs jours dans des climats chauds grâce à son grand volume », estime Ellen. « Par temps plus froid, il convient parfaitement pour les randonnées d’une journée, car il peut contenir des couches de vêtements supplémentaires en plus de mon matériel photo. Et les sangles permettent de le comprimer facilement, ce qui le rend parfait pour une utilisation comme sac à dos à la journée sans paraître volumineux. » Bref, c’est le compagnon de route idéal pour ceux qui aiment emporter beaucoup lors d’une randonnée d’une journée, ou peu lors d’un trek de plusieurs jours.
Comment choisir le meilleur sac à dos ?
En montagne, un sac à dos est un compagnon de route qui ne vous quitte (littéralement) jamais.
D’où l’importance de choisir le modèle le mieux adapté à vos besoins.